C'était quand le Conseil français des musées d'histoire fonctionnait bien, parallèlement à l'Association internationale. Je portais tout cela à bout de bras. A Marseille, pour cette opération, Myriame Morel a fait un très gros boulot et Claudia Fonseca pour l'association. Je voyais les musées de ville comme la carte d'un territoire, avec des allers et retours constants entre les deux. Il est difficile pourtant de convaincre des élus qui n'ont aucun exemple probant à se mettre sous la dent. Le serpent se mord la queue : pas d'argent pour les musées d'histoire sauf monstre commémoratif et reproche de ne pas bouger. Nantes a réussi à émerger, Lyon combat, Londres avance. Il est temps d'aider ces institutions-repères à nous expliquer les mutations des villes. |